mardi 30 mars 2010

Un marché de fou ?!

Le 29 mars 2010
On a beau dire ce qu’on veut, et généralement on ne se gêne pas pour émettre une opinion, les agents sont pris dans une drôle de souricière avec ce marché de fou!
Les vendeurs de propriétés écoutent les émissions d’actualités, regardent les nouvelles à la télé et ils entendent les histoires de surchauffe, de multi-offres sur des maisons qu’ils croient comme la leur. Ils estiment que, eux aussi, ils ont droit à la plus value du marché qui prend sa source à la fontaine sans fin du Plateau Mt-Royal. Et les acheteurs se battent pour les même types de produits….Alors lorsqu’un agent veut préparer une évaluation de la valeur marchande d’une propriété il se doit d’être ‘généreux’ dans son estimé car quelqu’un de l’entourage du vendeur viendra lui rappeler qu’un tel a vendu beaucoup plus cher!
On a plus de repères, on nage dans l’absurde. Pas de justificatif, juste une approche du ‘ plus fort la poche’ Et si cette poche arrive de l’extérieur du marché, de l’extérieur de la province par exemple, cette poche est beaucoup plus profonde avec des références qui n’ont rien à voir avec celles qui sont installées ici, dans notre marché. Les économistes, les banquiers, les analystes s’entendent pour qu’une partie du problème vient de la sur-évaluation de la capacité d’endettement des acheteurs, des taux d’intérêts très bas, de la rareté des produits offerts. Personne n’ose parler de l’absence de référence adéquate de la valeur marchande d’une propriété en fonction des comparables, de la plus value dans le temps. Les maîtres répondent qu’il ne faut pas contrôler le marché, que la valeur d’une maison est uniquement fonction de ce qu’un acheteur est prêt à payer pour elle, peut importe que cet acheteur la paye ultimement avec des dollars canadiens ou des euros ou même des valeurs comparées avec l’ouest canadien. Si on ne joue pas avec les mêmes cartes on ne joue pas le même jeu. La justice se situe où? Je ne sais pas, personne ne le sait, sauf que je serai là, un jour, quand un client me dira qu’à son avis le marché semble moins ‘hot’ qu’avant et je lui répondrai ce que nous répondions durant le début des années ’90, que ce n’est pas les prix qui baissent mais l’augmentation annuelle qui ralentit. Vite que ce jour arrive, pour notre santé à tous!

En avant les braves!

Carol Jarry
Agent immobilier agréé et gestionnaire

Les opinions exprimées par l’auteur sont informelles et n’engagent en rien le courtier la Capitale du Mt-Royal, le Réseau la Capitale, l’équipe baroletjarry ni les membres de son équipe. Ces commentaires sont partagés gratuitement et ne peuvent être utilisés pour des fins de preuves ou de faits.

samedi 27 mars 2010

Ces taches blanches qui couvrent les murs de briques sont-elles normales?

Le 27 mars 2010

Depuis quelques semaines j’ai remarqué qu’un très grand nombre de murs de briques entourant des constructions récentes montrent clairement de grands espaces blancs, comme de la craie en surface, qui enlaidit sensiblement l’apparence extérieure des bâtiments qui sont pourtant presque neufs! Ces grandes taches blanches peuvent inquiéter si on ne sait pas ce qui les cause. Alors voici un résumé : le mortier utilisé pour retenir les briques en place est mélangé avec de l’eau qui est généralement puisée à même le réseau d’aqueduc de la municipalité. Hors, cette eau est composée de plusieurs minéraux et ceux-ci, avec le temps, sont laissés derrières lors de l’évaporation de l’eau, un processus qui peut prendre beaucoup de temps. D’ailleurs, cette eau devrait pouvoir s’échapper facilement dans le bas des murs par ce qu’on appelle des chantepleures, des petites fentes à la verticale, pratiquées à toutes les 5 ou 6 briques de la rangée la plus basse des murs, afin de permettre à toute condensation, accumulée de façon naturelle et incontournable dans notre climat, à s’échapper facilement sans causer de problème. J’ai remarqué donc que les murs les plus affectés de la région de Montréal n’avaient souvent pas de chantepleures, ce que je ne comprends pas puisque les spécialistes en ventilation de bâtiment s’entendent pour dire que ces pratiques sont essentielles pour la bonne aération de l’espace de vide d’air entre la brique et la structure principale extérieure d’un bâtiment. Le froid qui traverse la brique vient en contact avec le coupe-froid sur la surface de l’isolant cloué sur la structure de bois. Ce froid contacte l’air plus chaud intérieur, se condense et devient particules d’eau qui s’accumulent et glissent le long de l’isolant pour, éventuellement, terminer sa course en bas des murs et glisser par la chantepleure. Un processus connu par les massons, alors pourquoi de ne pas respecter cette pratique approuvée et qui a fait largement ses preuves au Québec? Je soupçonne le temps accordé aux entrepreneurs dans leur contrats puisque, souvent, la continuité des déboursés pour le projet est assurée par la finition de la coquille du bâtiment. C'est-à-dire qu’avant que le contracteur principal puisse entamer l’intérieur de son projet, la coquille doit être complétée et étanche. Que peut-on faire pour éliminer ces taches ? Les professionnels vous diront de laisser faire, éventuellement ces taches vont être lavées par la pluie. Ce qui me préoccupe par contre est l’absence de chantepleure. Alors sortez votre marteau et tournevis et pratiquez ces ouvertures vous-même. Enlevez le mortier dans l’espace vertical jusqu’à ce votre tournevis touche la paroi d’isolation, en prenant soin de ne pas la perforer, à toutes les 5 briques de la rangée la plus basse des murs. Faites de même au dessus des fenêtres et portes, car il y a une allège, probablement de métal, qui retient le poids de la brique et qui empêche l’eau de poursuivre sa route vers le bas. Ces petits gestes, qui peuvent être faits par tous les bricoleurs(res), pourraient sauver des milliers de dollars en réparation de pourriture dans quelques années.

En avant les braves!

Carol Jarry
Agent immobilier agréé et gestionnaire
Les opinions exprimées par l’auteur sont informelles et n’engagent en rien le courtier la Capitale du Mt-Royal, le Réseau la Capitale, l’équipe baroletjarry ni les membres de son équipe. Ces commentaires sont partagés gratuitement et ne peuvent être utilisés pour des fins de preuves ou de faits.

mardi 23 mars 2010

Le MLS et le bureau de la concurrence.

Le 23 mars 2010

Le marché immobilier canadien veut changer. La pression de l’internet fera à l’immobilier ce qu’il fait à la presse écrite, personne n’y échappera. Que monsieur et madame tout l’monde soit convaincu que d’avoir accès au réseau MLS signifiera plus de contrôle et plus d’argent dans ses poches est aussi artificiel et illusoire que de penser que de lire les grandes lignes de l’actualité sur des pages web de quelques pixels fera du lecteur un citoyen averti. Mais que voulez-vous la vie c’est comme çà. On se lance sur les nouveautés, on les défend corps et âme jusqu’à la prochaine bébelle. On jure dur comme fer que si on pouvait juste avoir accès à l’autre affaire, l’autre outil on deviendrait meilleur. Que tout se passe comme dans ces émissions de rénovations où tout se complète dans une demi-heure. Il suffit juste d’être informé, voilà la réponse, l’information, le reste vient tout seul. Ce n’est pas parce qu'un agent est disponible 7 jours semaine, 20 heures par jour qui fait une vente ouqu'il réponde aux insécurités d’un acheteur avec des éléments de preuve ou qu'il écoute le client jusqu’à ce que les oreilles veulent s’arracher d’elles même qui fait en sorte que celui-ci se sente en sécurité d’agir et de prendre une décision! Noooooon, ce n'est que l'annonce publiée qui fait qu'on vend vite, vite, vite !!!

Dans l’article de la Presse du 22 mars 2010, le reporter cite : ‘ 30,000$ pour un travail de 10 ou 20 heures, c’est trop.’ Je suis d’accord. Dans ce contexte, il faudrait revoir le salaire des médecins et des avocats que nous consultons bien souvent que pour quelques minutes. Ah oui c’est vrai j’oubliais, je paye pour leur savoir, leur compétence, leur expérience. Même si je ne suis pas guérie ou que ma cause est perdue! (Soit dit en passant, la commission moyenne par agent pour une transaction au Québec est de 5,000$!)
Jamais un public n’aura été aussi outillé et informé et jamais dans l’histoire humaine il n’aura été autant laissé à lui-même, seul. Un agent accompagne et enseigne et surtout prend en charge la responsabilité de ses actions, de ses informations, de son résultat. Qu’en sera-t-il de quelqu’un qui aura le privilège du MLS mais pas ses obligations? Je serai probablement encore là pour lire, sur internet, un article sur des poursuites légales entamées contre des vendeurs pour informations erronées ou mauvaise gestion d’offres multiples causant préjudice.
Les choses changent et nous changerons avec elles. En attendant je continuerai de travailler pour mes clients architectes, avocats, chefs d’entreprises et même oui, médecins. Ils ont besoin de mon travail pour faire le leur!

En avant les braves!

Carol Jarry
Agent immobilier agréé et gestionnaire

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samedi 20 mars 2010

La déclaration des revenus locatifs dans la promesse d’achat.

Le 20 mars 2010

J’en ai déjà parlé mais il semble qu’il soit nécessaire de clarifier mon point. Je résume; ce n’est pas parce que le vendeur déclare que les loyers rapportent tant d’argent par année que cela confirme pour autant la qualité des locataires. Le bail peut spécifier bien des choses, si le locataire ne paie pas un mois sur deux ou si il (ou elle) paie régulièrement en retard, il serait bon, même essentiel, que l’acheteur-potentiel le sache. Oui je vous entends d’ici, cela ne ferait pas une bonne image de la propriété s’il fallait en plus déclarer que les locataires sont moins bons qu’ailleurs.
Nous devons nous assurer que le vendeur puisse fournir une forme de preuve de régularité de paiements des loyers car ces baux sont ‘vendus’ à l’acheteur et doivent être qualifiables, pas juste par leur rentabilité mais également par le coût de cette rentabilité. Si pour obtenir le loyer de 500.00$ par mois il faut se battre avec les locataires à chaque mois, ce loyer devient moins attrayant qu’un autre de 450$ payé à l’avance avec des chèques post-datés.
Voilà pourquoi je demande à mes clients vendeurs de fournir une forme de preuve de paiement des loyers avant la promesse d’achat afin de rassurer l’acheteur dans sa démarche et auprès de son institution financière. L’acheteur est rassuré, le vendeur est protégé et la transaction semble plus aisée. Le courtage c’est comme le patin artistique, une équipe qui semble flotter mais qui cache une grande préparation.

En avant les braves!

Carol Jarry
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mardi 16 mars 2010

Le rapport entre l’évaluation municipale et la valeur marchande, y’en a-t-il un?

Le 16 mars 2010

On me demande souvent si il y a une formule mathématique, un pourcentage que l’on peut appliquer sur l’évaluation municipale d’une propriété et sa valeur sur le marché de la re-vente. Ma vie serait beaucoup plus simple si nous pouvions simplement faire un calcul sage et arriver rapidement à la valeur type d’une propriété. Malheureusement il n’en est rien. Contrairement à d’autres villes canadiennes, le parc immobilier de Montréal est très âgé ce qui signifie que les valeurs au rôle foncier ont subies beaucoup de fluctuations et d’influences causées par différentes économies au fil des ans.
Au dernier exercice, l’évaluation foncière des propriétés était complétée en Juin 2005, alors que ces valeurs seraient appliquées pour les années 2007 à 2010! Hors, nous savons maintenant que les taux d’augmentation des valeurs de propriétés vendues ont largement dépassées les prévisions. Quelques exceptions toutefois, les condos de construction neuve, qui ont été évalués en fonction du prix payé par l’acheteur. Les acheteurs de condos neufs ont souvent économisé à l’achat mais ont également souvent payé plus cher que les propriétaires de condos usagés en taxes foncières!
Voilà donc la principale raison pour laquelle il n’est pas recommandé d’utiliser le rôle foncier comme repère de valeur marchande dans la plupart des cas. Par contre, une valeur de taxation basse a ses avantages puisque se sont des dollars en moins à débourser pour notre propriété.

En avant les braves!

Carol Jarry
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samedi 13 mars 2010

Samedi le 13 mars 2010

Comme la température de nos régions depuis le début mars, les ventes vont battre, encore, des records cette année.
Actuellement nous pouvons déjà conclure, selon les statistiques pour les mois de janvier et février, que le nombre de vente ainsi que les prix de vente auront augmentés de façon importante durant cette période comparé à la même période de l’an dernier.
Mais c’est sectoriel. Seuls des secteurs, des catégories de produits profitent de cette augmentation. Les traditionnels plex sur l’ile de Montréal, particulièrement le centre de l’ile et les propriétés de type unifamiliale sont encore une fois privilégiés. Les condos, si ils sont grands, avec stationnement ou garage, avec un bel espace extérieur (cour ou terrasse) vont également profiter de cette popularité. Mais les propriétés condo moyen, pas très bien situés, avec plus ou moins d’ensoleillement vont vivre une expérience un peu différente dans la mesure où ils trouveront preneur mais à plus long terme et pour un prix moins à la hausse.
Pour ce qui des propriétés à l’extérieur de l’ile de Montréal, le marché semble plus conservateur mais les vendeurs réussissent à tirer leur épingle du jeu grâce au fait que des premiers acheteurs, n’ayant pas les moyens du centre de l’ile, peuvent trouver des produits intéressants et profiter des taux d’intérêts très bas.
Ce qui me fait penser que si nous avions eu un plan d’urbanisme avec une vision d’avenir le moindrement étudiée nous aurions pu encourager les bâtisseurs à proposer des produits innovateurs qui pourraient encore aujourd’hui répondre aux besoins de la clientèle de moins de 35 ans et éviter un autre exil vers la banlieue. Mais qui aurait pu prévoir le mini baby-boom actuel?

En avant les braves!

Carol Jarry
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mardi 9 mars 2010

Le 9 mars 2010
Nous voici à quelques jours de Pâques, du printemps et d’une période de frénésie en immobilier. Je dois donc me résigner à ne vous parler que quelques fois par semaine, saison oblige.
À compter de cette semaine j’offrirai mon carnet que le mardi et le samedi. Je pourrai alors vous offrir le fruit d’une recherche plus complète et des informations plus réfléchies que le temps me permettra de raffiner.
Merci de votre lecture assidue,

En avant les braves!

Carol Jarry
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lundi 8 mars 2010

Journée Internationale des femmes 2010.

Le 8 mars 2010

Entendu dans une cuisine du Québec , une mère à sa fille;

‘Ton arrière grand-mère a rencontré son futur mari au pied de l’hôtel le jour de son mariage qui avait été arrangé par son père. Ta grand-mère a eu un mariage heureux avec un bon mari et elle a élevé 5 enfants et tenu maison toute sa vie. Moi j’ai divorcé de ton père et j’ai gagné ma vie dans un métier dit non-traditionnel et toi, bien t’as tous les choix…. Nous sommes peu sur cette planète à avoir ces choix, même les choix auxquels tu ne penses même plus car trop usuels, trop acquis. Aujourd’hui donc ma fille, nous prenons une journée dans l’année pour réfléchir à celles qui n’ont pas ces choix, à prendre la décision de continuer à agir tout au long de l’année pour que nous puissions aider nos sœurs dans leur quête de justice, d’égalité et de sécurité pour toutes.
Malheureusement, c’est encore très nécessaire.’

En avant les braves!

mardi 2 mars 2010

Relâche......!

En cette semaine de congé scolaire, j'en profite pour également faire relâche de certaines de mes fonctions...
Je vous souhaite une semaine de retrouvailles avec vos familles et je vous reviens en pleine forme lundi prochain.....

Bon congé à tous et à toutes.

En repos les braves!

Carol Jarry
agent immobilier agréé et gestionnaire

lundi 1 mars 2010

Le 1er mars 2010

Écrit le 28 février 2010 à 18hres:
¨¨Je viens de crier comme une démente car les canadiens ont gagné l’or au hockey masculin….Les filles avaient gagné la leur quelques jours auparavant. Dans les deux cas, les parties ont été enlevantes et inspirées. Je retiens de toute mon expérience olympique de 2010 plusieurs images de gens dédiés à leur discipline, du courage à en revendre et de la détermination sans faille. Si vous me demandez mon opinion, j’offrirais à tous les participants olympiques canadiens des postes de ministres dans nos gouvernements fédéral et provincial afin d’infuser une énergie manquante dans nos avenirs. Personnellement, je tenterai de me souvenir que la partie n’est jamais perdue tant qu’il y a de l’énergie et de l’espoir, que lorsqu’on veut offrir ce qu’il y a de mieux, rien ne peut nous arrêter.¨¨

En ce premier du mois de mars 2010, nous voici à la frontière d’un printemps qui se fait attendre. Bientôt nous sortirons de la bouette ( pour nos amis français çà c’est de la slush pas vendue dans les dépanneur!) et du froid. Bientôt nous porterons nos souliers neufs, nos jupes et nos chemises de coton et partagerons un air doux et enivrant de printemps unique à Montréal. Il sera drôlement agréable de faire ce métier et se souvenir de nos athlètes qui auront déjà recommencer leur entrainement pour les prochaines compétitions.
Les gagnants ne s’arrêtent jamais!

En avant les braves!

Carol Jarry
Agent immobilier agréé et gestionnaire

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