samedi 20 novembre 2010

Les maud...inspections.

Pourquoi pensez-vous que les courtiers n'aiment pas toujours les inspections? Ce n'est pas pour les raisons que vous croyez, c'est parce que trop souvent les inspections ne valent pas le prix payé. Oui, je l'ai dit et je le répète.
Une inspection en bâtiment sert principalement à renseigner l'acheteur-potentiel sur l'état du bâtiment qu'il s'apprête à acquérir. Renseigner, enseigner, le mot le dit. Les acheteurs ont besoin de se faire enseigner sur les modules sugnificatifs de la propriété. Ils ont besoin de savoir si l'état de l'élément sous la loupe de l'inspecteur, ' l'expert ', est normal, pas normal, endommagé ou pas, à changer, à tolérer, à accepter. L'acheteur, avec ou sans expérience, a besoin de savoir quels sont les éléments qui demanderont des investissement à court, moyen et long terme.
Quand un inspecteur remet un beau catalogue avec de belles petites boites cochées oui ou non, l'acheteur n'en sait pas beaucoup plus après qu'il n'en savait avant. Il est plus léger de plusieurs centaines de dollars par contre. Il pourra lire dans son beau catalogue que des éléments, tels la toiture ou la fondation ou le panneau électrique ou le mpode de chauffage auraient besoin d'une opinion d'expert. L'acheteur aura le droit de se poser la question ' mais qui donc ai-je engagé?'"
Voilà ce qui rend les courtiers fous de rage car nous ne pouvons dénoncer des inspecteurs de mauvaise qualité ou de facture exagérée. Nous ne pouvons que recommander à nos clients de porter plainte auprès du fournisseur ou l'Association des Inspecteurs du Québec. Peut-être feront-ils enquête?
le 'bottom-line' est que les acheteurs rcoivent trop souvent un service inférieur pour des frais qui ont largement augmentés depuis 10 ans. Qu'ils sont obligés de payer souvent sur place et qu'ils restent avec plus de questions que de réponses.
Il est difficile de naviguer à travers les dédales du processus d'achat ou de vente d'une maison, j'en conviens. Raison de plus pour être bien préparé. Lorsque vous pensez acheté une propriété vous pouvez commencer à magasiner non seulement une hypothèque mais aussi votre notaire et votre inspecteur et là rien de mieux que des références de gens en qui vous avez confiance.

Carol Jarry
courtier immobilier

Les opinions exprimées par l'auteure sont informelles et n'engagent en rien le réseau La Capitale, l'Agence La Capitale du Mt-Royal, L'Équipe BaroletJarry ni ses membres. Ces commentaires sont partagés gratuitement et ne peuvent être utilisés pour fin de preuves ni de faits.

mardi 16 novembre 2010

les maud...inspections

Pourquoi pensez-vous que les courtiers n'aiment pas les inspections? Ce n'est pas pour les raisons que vous croyez, c'est parce que trop souvent les inspections ne valent pas le prix payé. Oui, je l'ai dit et je le répète....

Une inspection en bâtiment sert principalement à renseigner l'acheteur-potentiel sur l'état du bâtiment qu'il s'apprête à acquérir. Renseigner, enseigner...le mot le dit. Les acheteurs ont besoin de se faire enseigner sur les modules significatifs de la propriété. Ils ont besoin de savoir si l'état de l'élément sous la loupe de l'inspecteur est normal, pas normal, endommagé ou pas, à changer, à tolérer, à accepter. L'acheteur, avec ou sans expérience, a besoin de savoir quels sont les éléments qui demanderont des investissements à court, moyen et long terme.

Quand un inspecteur remet un beau catalogue avec de belles petites boites cochées oui ou non,l'acheteur n'en sait pas beaucoup plus après qu'il en savait avant. Il est plus léger de plusieurs centaines de dollars par contre. Il pourra lire dans son beau catalogue que des éléments, tels la toiture ou la fondation ou le panneau électrique ou le mode de chauffage auraient besoin d'une opinion d'expert. L'acheteur aurait le droit de se poser la question ' mais qui donc ai-je engagé?'

Voilà ce qui rend les courtiers fous de rage car nous n'avons pas le droit de dénoncer des inspecteurs de mauvaise qualité ou de facture exagérée. Nous ne pouvons que recommander à nos clients de porter plainte auprès du fournisseur ou de l'Association des Inspecteurs en Bâtiment du Québec. Peut-être feront-ils une enquête?

Le 'bottom-line' est que les acheteurs recoivent trop souvent un service inférieur pour des frais qui ont largement augmentés depuis 10 ans. Qu'ils sont obligés de payer souvent sur place et qu'ils restent avec plus de questions que de réponses.

Il est difficile de naviguer à travers les dédales du processus d'achat ou de vente d'une maison, j'en conviens. Raison de plus pour être bien préparé. Lorsque vous pensez acheté une propriété vous pouvez commencer à magasiner non seulement une hypothèque amis aussi votre notaire et votre inspecteur et là rien de mieux que des références de gens en qui vous avez confiance.



Carol Jarry
courtier immobilier



Les opinions exprimées par l'auteure sont informelles et n'engagent en rien le réseau La Capitale, l'Agence La Capitale du Mt-Royal, L'Équipe BaroletJarry ni ses membres. Ces commentaires sont partagés gratuitement et ne peuvent être utilisées pour fin de preuves ni de faits.

Y'a t'il un pilote dans l'avion?

Hier, une cliente qui a acheté une propriété sur le Plateau cet automne m'a téléphoné. Elle criait presque tant elle était surprise, estomaquée plutot. Elle venait de recevoir l'évaluation foncière de sa nouvelle propriété, 30,000$ de plus de ce qu'elle a payé! Et cette évaluation avait été faite, on se souvient, durant le printemps 2010, soit un bon six mois avant son acquisition.
Du n'importe quoi. Maintenant il ne suffit plus d'attendre qu'il y ait transaction pour déterminer la valeur d'un bien, on peut se permettre de prévoir l'avenir, comme avec une boule de cristal et si vous n'êtes pas d'accord alors à vous de venir défendre votre point, sur votre temps, sur votre bras.
Que les 'valeurs' foncières augmentent de 100%, comme c'est le cas ici, car l'évaluation du dernier trimestre était à la moitié, appartient au régime de Notingham. Mais où est donc Robin des Bois. Oh! je vous entend d'ici, les 'chics' du plateau peuvent se le permettre mais attention à quand votre tour? Si l'administration locale peut se permettre de telles affronts au respect de ses citoyens c'est parce que l'on a perdu le concept de l'ensemble et que les petits rois et petites reines se croient sans chef, libres. Et ils se sentent ainsi parce qu'on les laisse faire, trop occupés. Là les amis, nous voilà avec le choc qui réveille, celui au porte-feuille.
Ma seule inquiétude est de voir l'avenue Mont-Royal se vider de ses boutiques, restos et de tout ce qui la rend elle, comme cela est arrivé dans les années '70 quand avait débuté l'exode des familles vers la banlieue ( St-Laurent, Anjou, Laval). Moi j'ai marché le Plateau à cette époque, les vitrines placardées, les rues malpropres, les gens sans services.
Çà n'en prend pas beaucoup et tout se passe plus vite de nos jours. Il est temps de faire attention et de trouver un pilote pour notre fusée.

Carol Jarry
fille du Plateau depuis 1957!

Les opinions de l'auteure n'engagent en rien le réseau La Capitale, l'Agence la Capitale ducMt-Royal, l'Équipe BaroletJarry ni ses membres. Ces opinions sont partagées gratutitement et ne peuvent être utilisées pour fin de preuves ou de faits.

samedi 13 novembre 2010

Une mise à jour des marchés de l'immobilier

Les statistiques du 3e trimestre, publiées par la Fédération des Chambres Immobilières du Québec, nous indiquent une tendance négative dans les ventes en région et , pour la seconde fois depuis cette crise de 2008, même à Montréal. En effet, pour la région de Montréal les ventes de multi-logement ( 2 à 5 logements) ont chuté de 13% tandis que la valeur de ce qui s'est vendu a augmenté de 8%. La demande est toujours là mais les vendeurs ne sont pas au rendez-vous. Depuis 1997, les jeunes couples ont acheté des plex et des unifamiliales pour leur petites familles et ainsi ont remplacé une grande partie des immeubles jadis occupés par des baby-boomers. Aujourd'hui, les propriétaires de ces immeubles à Montréal n'ont pas plus de 50 ans et voir même moins de 45. Ils ne sont donc pas prêts de partir. Donc, les unités disponibles se font plus rares et les prix augmentent quand même.

La région de Sherbrooke est une région particulièrement boulversée. Les ventes d'unifamiliales ont baissé de 17%, et les multi-logements ( 2 à 5 plex) de 27% ! Dans ces deux cas, il n'y a pas eu d'impact positif sur les prix de vente, d'ailleurs les unifamiliales accusent un retrait de 6% sur les prix moyens vendus.

J'ai également constaté par une recherche plus informelle, que les locations de maisons secondaires, genre chalet pour la saison d'hiver 2010-2011, se font difficilement et à prix réduit par rapport à l'an dernier.

Résultat: La rareté des plex ne pourra s'améliorer tant que les constructeurs en résidentiel manqueront de courage et d'imagination pour créer des unités avec possibilité de revenu additionnel. De plus, suite à cette crise qui n'en fini plus d'affecter nos emplois, le marché des propriétés secondaires en prend pour son rhume.



Bonne nouvelles au travers de tout ceci, le marché des investissements en multi-logement pour la région de Sherbrooke est intéressant car ce secteur a subi une baisse des ventes de 27%, une augmentation des produits inscrits de 22% et une augmentation de 2%, ce qui se traduit par une confiance dans ce type d'investissement et une bonne négociation lors de l'achat. Donc attention à ceux et celles qui cherchent à placer leurs sous, Sherbrooke est un secteur intéressant actuellement. Les prix moyens de plex se situent à 199,171$, une baisse de 10% pour le 3e trimestre mais une augmentation de 5% depuis les 12 derniers mois.





En avant les braves!

Carol Jarry

courtier immobilier



Les opinions exprimées par l'auteure sont informelles et n'engagent en rien le réseau La Capitale, l'agence immobilière la Capitale du Mt-Royal , l'Éqyipe BaroletJarry ou ses membres. Ces informations sont publiées à titres de renseignement général et ne peuvent être utilisées pour fins de preuves ou de faits.